«La réactivité d’Agarik est excellente», nous confie Nicolas Tissot, Directeur du Numérique et des Systèmes d’Information.

 

Le Conseil supérieur du notariat (CSN) confie depuis près de 10 ans son infogérance à Agarik. Une relation qui repose sur l’agilité et la réactivité, dans un secteur où la disponibilité des systèmes   d’information est essentielle.

Rattaché au Ministère de la Justice, mais également à celui de l’Économie et des Finances, le Conseil supérieur du notariat est une mécanique bien huilée, aux multiples rouages. «Le CSN est la plus haute autorité de l’organisation professionnelle», nous explique Nicolas Tissot, son Directeur du Numérique et des Systèmes d’Information. Le travail du CSN est autant d’informer les notaires concernant des sujets comme l’éthique, la déontologie, le suivi des textes de loi, que de les accompagner à l’aide d’outils leur permettant de piloter efficacement leur activité. «Nous avons un certain nombre d’outils gratuits àdestination des notaires, pour les assister au quotidien, en plus du site Notaire.fr, qui est destiné au grand public, et purement informatif», résume Nicolas Tissot.

Les systèmes d’information proposés par le CSN permettent donc à une profession rassemblant actuellement près de 12 000 personnes de fonctionner sereinement. Et même si le CSN n’est pas la seule entité à proposer des outils pour les notaires — l’Association pour le développement du service notarial (ADSN), basée à Aix-en-Provence, en fournit également — la disponibilité permanente des systèmes d’information est un enjeu de taille.

Accélérer la manœuvre

Pour autant, si le CSN a débuté il y a une dizaine d’années une collaboration avec Agarik, c’était avant tout pour gagner en agilité. «À l’époque, le CSN s’appuyait entièrement sur l’ADSN, y compris pour ses propres systèmes d’information» explique Nicolas Tissot. Problème : le CSN est à Paris et l’ADSN à Aix. «Tout cela manquait beaucoup de réactivité. On a donc cherché des solutions pour être plus agiles dans notre transition numérique» résume le directeur du numérique. «On s’est alors tourné vers Agarik, qui travaillait d’ailleurs avec l’ADSN à l’époque». Une rencontre qui fait mouche : «La réactivité d’Agarik est, selon moi, excellente à tout point de vue. En cas de problème, le Fantastik Support prend en compte les tickets en moins de 15 minutes, et nous appelle immédiatement en cas d’incident majeur. J’avoue que je suis bluffé par la qualité du suivi.»

Le CSN étant un client nécessitant un suivi permanent en raison des enjeux de la disponibilité de ses infrastructures, il dispose, par ailleurs, de son propre chef de projet au sein d’Agarik. Une proposition «totalement indispensable » selon Nicolas Tissot. «On a constamment un contact qui sait à quoi ressemblent nos infrastructures, qui est familier avec leur fonctionnement. Il peut appuyer le support quand il y a une grosse difficulté. En marge de cela, il est en capacité de nous faire les meilleures propositions d’évolution en permanence. Pour moi, ça fait clairement partie de la plus-value d’Agarik.»

Un avenir plein de défis

Nicolas Tissot – Directeur du Numérique et des Systèmes d’Information – CSN

Un lien fort existe donc entre l’institution et l’entreprise depuis 10 ans, et cela n’est pas près de se terminer : le CSN compte se lancer dans un gros chantier prochainement, toujours avec l’aide d’Agarik : «Nous disposons actuellement de deux plateformes différentes. L’une est restée dans son jus depuis une dizaine d’années, l’autre, qui a environ 4 ans, est technologiquement plus avancée et plus efficace. Nous avons en projet de les faire fusionner» explique Nicolas Tissot. «Faire converger l’ensemble représente un défi important : d’un côté, on se base sur des technologies de Microsoft, de l’autre, ce sont des technologies libres… on s’interroge sur la manière de lier l’ensemble, et éventuellement de nous appuyer sur le cloud public pour une partie des environnements qui ne nécessiterait pas de conditions de disponibilité aussi importantes que nos infrastructures internes.»

Un challenge qui s’annonce musclé, mais que le CSN relèvera une fois encore avec Agarik. «Les équipes d’Agarik sont disponibles, force de proposition et disposent d’une palette d’outils plutôt large. Bien qu’elle s’appuie sur Atos, c’est une entreprise à taille humaine, réactive, qui nous permet de déployer rapidement de nouveaux outils à destination des notaires.» L’aventure continue… rendez-vous dans 10 ans ?

 

Interview réalisée avec le support de BFM Business

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